Morale kantienne
Kant met une limite à l’entendement humain, car selon lui, il est préférable de procéder sur un terrain limité mais clair, plutôt qu’un terrain sans fin et obscur qui se contredit et n’avance pas.
Il veut donc resstreindre le champ de connaissance mais être certain.
Contrairement aux empiristes qui remettent en cause la causalité, qui selon eux est une habitude psychologique et non un loi universelle, Kant rend cette loi de causalité aux sciences mais détache ce déterminisme accrodé aux science, de l’être humain. En effet si l’être humain obéit à cette même loi de causalité (determinisme) il n’y a plus de morale possible, plus de liberté.
Il détache donc
Déterminisme -> causalité -> connaissances scientifique appartient au phénomène
Et crée donc la morale à partir de ce détachement et de cette limite fixée à l’entendement. Notre système judiciair est d’ailleur basé sur une morale kantienne.
Il fonde donc l’éthique, valeur qui dirige l’action.
noumène liberté pensable et non connue
phénomène déterminisme (cathégories de l’entendement) Kant fait une distinction entre le moi phénoménalt qui obéit au déterminisme et le moi nouménal qui échappe à toutes connaissances. La liberté, qui laissera place à la morale, se trouve dans le moi nouménal puisqu’il échappe au déterminisme. (Rien ni personne ne connaît un individu en sois ! Hormis Dieu…) La Liberté : Le monde phénoménal et les preuves qu’apportent les sciences nous n’avons pas le choix de les nier ou non, elles sont là, comme ça et obéissent à aux lois que l’entendement connaît. Le monde nouménal ne peut être connu en sois, mais peut être pensé. Puisque la liberté se trouve dans ce moi nouménal qui nous permet de faire des choix, la liberté peut être pensée. Impossibilité de prouver rationellement la liberté, mais impossibilité de prouvé son inexistance. Donc la liberté peut être envisagée. En réalité la connaissance de la liberté dépasse les