Musée de québec
B- Rôles accomplit.
1- A- Il communique d’entré de jeu sa conception du Musée et de sa direction prochaine à l’ensemble du personnel en place : > p.9
B- Rôles de diffuseur et de répartiteur de ressources.
2- A- Au début de son mandat en tant que directeur, il commence par se familiariser avec le Musée, son personnel, ses structures et ses pratiques. Il sait qu’il devra incessamment faire des choix difficiles et procéder à d’inévitables coupures.
B- Rôles d’observateur actif et de répartiteur de ressources
3- A- John R. Porter a une vision précise en ce qui concerne ‘’ le plus grand musée d’art québécois’’ du XVIIIe au XXe siècles. Il formalise donc cette vision à l’intérieur d’un plan triennal qu’il soumet au conseil d’administration du Musée en 1993.
B- Rôles d’entrepreneur et de diffuseur
4- A- Pour parvenir à ces objectifs, il commence par renouveler presque complètement l’équipe de direction du Musée et par apporter quelques changements à la structure de l’organisation. Dans ce contexte, John R. Porter transforme le poste de secrétaire général en celui d’un directeur du développement ayant pour mandat d’accroître les revenus autonomes du Musée.
B- Rôles d’entrepreneur et de répartiteur de ressources
5- A- Dès l’automne 1993, on s’affaire à la préparation de l’exposition Québec plein la vue, qui sera présentée à l’été 1994 en collaboration avec la ville de Québec, le salon du livre de Québec, la Cinémathèque québécoise et l’Université de Laval.
B- Rôles d’entrepreneur et d’agent de liaison
6- A- En vue du développement et de la consolidation des réseaux du Musée, on entreprend aussi une tournée de sensibilisation auprès d’une vingtaine de grandes entreprises d’envergure nationale et on lance à l’automne 1994, le bulletin du Musée du Québec qui renouvelle complètement, dans le contenu et le design, l’ancienne publication