Méditation grisâtre
L’auteur décrit ce paysage à l’aide d’un champs lexical d’éléments marins comme « Océan » (v.2), « vagues » (v.6), « clapotis » (v.3), « îlot » (v.3) qui note la présence de l’eau dans ce paysage .on peut en déduire que l’auteur ce trouve à proximité de l’océan, seul. De plus il le décrit avec une atmosphère pesante grâce au ciel qu’il qualifie de « pluvieux » (v.1), «grand ciel gris » (v.9), « brouillard » (v.9); l’utilisation de l’adverbe « partout » (v.9) montre l’omniprésence de cette atmosphère comme si elle entourait l’auteur et l’hyperbole « brume sales » (v.1) accentue cette pesanteur. La météo de ce paysage est déchaîné, en fureur, qui est montré par un champs lexical du bruit « concert hurlant » (v.4), « clapotis » (v.3), « l’affolement des vents » (v.10), « sanglots » (v.7) qui décrit la grande tempête qui s’abat autour de l’auteur ; cet effet est accentué par la personnification animale des vagues en cavales (v.5)
« Crinière échevelée ainsi que des