user icon

Méditations métaphysiques de descartes 1 et 2

3121 mots 13 pages
Montre plus
Plan de la Première Méditation : 1. Introduction (Il y a déjà quelques temps… anciennes opinions étaient appuyées): 1.1 Constat : quantité de fausses opinions reçues pour vraies depuis l’enfance. Savoir ce qui est vrai ? Tout mettre en doute (doute méthodique), à commencer par les fondements, pour avoir une connaissance véritable ce qui servirait de fondement aux sciences. 1.2 Démontrer une à une que les opinions sont fausses = travail infini. Donc Descartes va s’attaquer aux fondements

2. Doute méthodique appliqué à deux principes fondamentaux (Tout ce que j’ai reçu…assuré dans les sciences) 2.1 Premier principe mis en doute : les sens
Choix de la sensation par Descartes car c’est d’eux que viennent les premières (fausses) opinions. * Les sens donnent de fausses sensations.
Objection du sens commun : MAIS certaines opinions qui nous viennent des sens sont indubitables (ex : ma localisation et mon corps). Ceci est indéniable à moins d’être sujet à la folie.
Objection de Descartes à l’objection du sens commun : MAIS aucun indice ne permet de différencier la veille du sommeil. * Supposition qu’on est tous endormis en ce moment et nos sensations sont des illusions.
Objection du sens commun : les rêves, comme les peintures, sont issus de la réalité, et même avec beaucoup d’imagination ils ont besoin au moins de couleurs et ça c’est impossible à inventer 2.2 Le doute appliqué aux sens en résulte à des acquis * Pour chaque chose il faut caractère simples et universels qui sont la forme corporelle (figure des choses) et l’étendue (quantité, nombre, lieu, temps, …). * Contrairement aux sciences qui reposent sur des choses complexes, les sciences qui dépendent de choses simples et générales (mathématiques) sont certaines et indubitables 2.3 Second principe de mise en doute : Dieu * Doute méthodique : Dieu omnipotent qui m’a créé, mais je me trompe parfois.
Hypothèse 1 : Dieu aurait fait en sorte que

en relation

  • De devons nous nous fierer de nos certitudes ?
    2220 mots | 9 pages

    Cependant , nos certitudes sont elles vraiment garantes de vérité ? ***** Le sentiment de certitude, bien que nécessaire, reste pourtant néanmoins subjectif. Nous considérons la certitude comme une marque de vérité, de sûreté, mais elle peut également être la marque de l’erreur, de l’illusion. C’est une simple conviction, et croire en quelque chose ne signifie pas que cette chose et vraie, or vivre avec de fausses certitudes, ce serait finalement comme vivre dans un mensonge ? Il apparaît donc et nécessaire et utile de laisser un place à la remise en question, au doute, et donc à la méfiance.….

    montre plus
  • Lettre poilu DM francais
    544 mots | 3 pages

    Cela fut un échec, un désastre. La mort est omniprésente. Lorsque j'avance, mes sentiments disparaissent. La peur, l'amour, plus rien n'a de sens. Voici l'image de….

    montre plus
  • histoire des arts de guerre
    1557 mots | 7 pages

    Cela produit l'impression de….

    montre plus
  • Brevet 2008 français
    446 mots | 2 pages

    A mon avis il a une idée de l'identité de celui qui nous….

    montre plus
  • corrige cas E1sequence 06
    1053 mots | 5 pages

    Ceci est d’autant….

    montre plus
  • 1 Et 2eme méditation de decarte
    761 mots | 4 pages

    Dans la 1ère méditation, Descartes doute sévèrement des sens et tout ce qu’ils nous font percevoir du réel. Il prétend par contre, que ce même doute n’a pas lieu d’être pour les choses proches et faciles à percevoir, exemple le fait de prendre un crayon, de se brosser les dents, d’être assis sur une chaise, etc. Or, il affirme ensuite que les «insensés» se trompent même sur les choses proches et faciles à percevoir puisque leurs sens leurs jouent des tours.….

    montre plus
  • Etude de texte : Leibniz, Nouveaux essais sur l’entendement humain
    964 mots | 4 pages

    L’auteur l’exprime par ceci : ''puisque les sens ne donnent jamais que des exemples, c'est-à-dire des vérités particulières ou individuelles'', qui décrit les sens comme des vérités pouvant être différentes selon chacun, celles-ci sont subjectives, on ne peut en déduire quelque chose, ce ne sont que des exemples (ce sont ces « vérités….

    montre plus
  • Sujet : suis-je le même en des temps différents ?
    1796 mots | 8 pages

    Qui suis-je ? Descartes définit le sujet comme substance pensante, consciente de sa pensée, « Je pense donc je suis », « cogito ergo sum ». Je suis ainsi conscient de mes actes, je suis maître de mes pensées. Ma conscience est l’essence de ma pensée, et ce « je pense » que nous sentons au fond de nous mêmes est permanent, toujours identique a lui même. Un être inconscient ne pourrait avoir conscience de la temporalité. L’être est alors conscient qu’il existe a travers le temps.….

    montre plus
  • Francais expression personnelle
    940 mots | 4 pages

    Divers aspects de la médecine sont ici abordés : deux documents s’intéressent à la dérive de la médecine. Il s’agit d’un film de Michael Moore, SICKO (2007) et d’un extrait de théâtre, KNOCK de Jules Romain (1923). Un autre texte fait cas de liaison entre les compétences médicale et les comportements moraux, il s’agit d’un texte de référence le SERMENT MEDICAL (1996). Enfin l’interview d’Axel….

    montre plus
  • L’ANALYSE DE L’ARTICLE « LES NOCES DE L’ART ET DU NUMERIQUE »
    277 mots | 2 pages

    Ceci est un article un peu intellectuelle donc, Marc Fumaroli veut atteindre aux intellectuelles, qui sont curieux de ce qui se passe. L’illustration utilisée par lui est une affiche d’un événement intéressé avec l’art, donc, il a une relation assez forte avec eux. Avec un tel titre, il souligne une rencontre de deux côtés différents, ainsi évoquer un sentiment d’émerveillement. Baran Abdullah ÇEÇEN….

    montre plus
  • Le paysan du danube
    670 mots | 3 pages

    Admire le grand coeur, le bon sens, l'éloquence, Du sauvage ainsi prosterné. On le créa Patrice ; et ce fut la vengeance Qu'on crut qu'un tel discours méritait. On choisit D'autres préteurs, et par écrit Le Sénat demanda ce qu'avait dit cet homme, Pour servir de modèle aux parleurs à venir. On ne sut pas longtemps à….

    montre plus
  • David hume traité de la nature humaine explication de texte
    638 mots | 3 pages

    Il met donc en jeu la "continuité d'existence" du "moi". La conscience ne serait pas définie et complète dès sa naissance, mais dépendrait totalement des perceptions qu'a l'individu concerné. Rien n'est possible sans ces perceptions, rien n'est compréhensible sans ces perceptions, qui sont indispensables à l'homme. Il met donc en avant l'idée, et ce tout au long du texte, que la perception est véritablement indissociable du "moi". Y a-t-il conscience sans perception ?….

    montre plus
  • toute conscience de soi
    392 mots | 2 pages

    C'est l'illusion d'un « moi » libre et pleinement conscient qui nous permet de croire encore et désirer la continuation de la vie. Bien que l'unité et la transparence de soi puisse être entendue comme une illusion, la conscience demeure ce formidable don que la nature nous a, de manière exclusive, attribué. Pascal rappelle d'ailleurs, dans ses Pensées, que « La grandeur de l'homme est grande en ce qu'il se connaît misérable. Un arbre ne se connaît pas misérable ». Conclusion Il est certes illusoire de croire que la….

    montre plus
  • 1ère chambre civile 20 janvier 2010
    369 mots | 2 pages

    Civ. 1Ère, 20 janvier 2010 Ceci est un arrêt de rejet de la première chambre civile de la cour de cassation daté du 20 janvier 2010 et portant sur un litige relatif à l'existence d'une société créée de fait et à un enrichissement sans cause. Deux concubins vivent ensemble. La concubine dit avoir participé au bon fonctionnement de l'entreprise de son mari, avoir exercé un poste de chef d'entreprise, qu'elle a abandonné son activité de salariée pour se consacré à l'entreprise de maçonnerie de son concubin.….

    montre plus
  • Peut-on penser seul?
    979 mots | 4 pages

    Ce monde n'est valabale qu'a condition de l'avoir comparé avec la certitude de notre propre existence. Tout cela n'existe qu'a la condition d'avoir construit son raisonnement sans préjugés => juger avant de se trouver devant la proposition. C'est l'illusion de celui qui croit savoir.….

    montre plus