Surveillant de Prison, une profession très exposée au risque de suicide | Auteur : Marie BOËTON Diffusé le 30 mai 2011 | Source : Extrait du site de La Croix : http://www.la-croix.com | I- Les chiffres de cette étude : Grâce à une étude récente de l’INSERM, ils ont pu remarquer que le taux de suicide des personnels pénitentiaires était considérablement supérieur à celui de la population française. Cette enquête qui a été conduit sur la période 2005-2010, on conclut à un taux supérieur de 31 % par rapport a la population française. II- Les causes : Les causes sont multiples. Elles sont dues à l’environnement violent de la détention, causées par des agressions envers le personnel du fait que les prisons soient surchargées. Mais aussi l’enfermement, plusieurs prisons récentes et modernes se sont ouvertes donc beaucoup plus grande et ceci accentue la solitude des surveillants, ils sont seuls pour travailler et ne voit personnes, et ceci aura des impacts sur leurs santés (isolement, dépressions, et qui peu aller jusqu’au suicide), ou encore une faible reconnaissance de leur métier, le personnel a une mauvaise image, ils se sentent inutile. De même, que les surveillants doivent faire face a des détenus souffrant de troubles psychiatriques, et ne peuvent leur venir en aide car ils n’ont pas étés formés pour s’occuper de ces détenus malades. III- Les actions menées : En octobre 2009, l’administration pénitentiaire a mis en œuvre un groupe de travail surla prévention du suicide chez les surveillants de prison, mais on déjà prévue le recrutement de psychologues et d’assistants sociaux supplémentaires. L’INSERM prévoit de « renforcer le lien social professionnel » entre les surveillants et de « valoriser le métier de surveillant aux yeux personnel ou du public ». Mais, vu qu’ils manquent beaucoup de gardiens, les recrutements se sont fait rapidement et les