Notre bonheur dépend-t-il inévitablement des autres
Quelle est la recette du bonheur ? Une question toute simple qui ne trouve pourtant aucune réponse concrète. Le bonheur est l’aspiration ultime de tout à chacun depuis la nuit des temps. Qu’il se présente sous une forme professionnelle, familiale, matérielle ou encore amoureuse, il est sans cesse ardemment recherché. Mais, chétif, volatil et délicat, il risque à tout moment de s’envoler. Alors, à quoi cet objet de désir universel est-il dut ? Certains affirment que notre propre bonheur est nourri par les attitudes agissements ou reactions de notre entourage alors que d’autres défendent l’idée que cet état de plénitude ne peut dépendre que de soi-même. Le bonheur est-il tout noir ou blanc ou existe-il la possibilité qu’il puisse être gris ?
L’homme n’est pas fait pour la solitude, de nature angoissé, cela ne lui conviendra jamais qu’il trouve angoissante. On serait donc tenter de penser que le bonheur de chaque individu dépend de ses relations.
« Le bonheur est contagieux. » Un sourire, un rire mais aussi une larme et ou une grimace s’inscrivent souvent sur notre visage après les avoir aperçu sur un être aimé et traduise dans notre intérieur, une sensation de bien-être. En effet, l’être humain a la particularité de faire preuve d’empathie de compassion. Ce fait se remarque souvent au niveau des relations tissées d’amitié lorsque les deux éléments d’une même union partagent la douleur et les joies l’un de l’autre.
Le bonheur peut également être relatif à la famille puisque tout au long d’une vie, celle-ci passe par des stades de dépendances. Effectivement, l’existence d’un enfant en bas âge résulte des décisions prises par ses parents à son égard tout comme lors de la phase de vieillesse où la fin de vie dépend de ses propres enfants. Entre autres, une personne âgée peut vivre ses derniers instants dans un hospice ou alors les vivre dans l’amour au sein de ses proches. Cela relève intégralement de la bonne