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1- Quelle est l’origine de la violence ?
Pour Boucher, la violence a toujours existé, elle a toujours accompagné l’Histoire, sauf qu’aujourd’hui , les médias ne sont plus crédibles quand il s’agit de renseigner sur la situation de la violence sociale. Cazaux s’intéresse à une forme de violence particulière : L e vandalisme, qui lui aussi ne date pas d’aujourd’hui d’où les statistiques des années 70 dont heureusement les chiffres baissent jusqu’à présent. Et puis, Vielfaure qui partage ses expériences avec les actes délictuels dans les années 50 qui maintenant n’épargnent aucun pays.
2-Que faire face à un tel fait détestable ?
Boucher pense que si les taux de criminalité sont toujours élevés malgré la politique de répression, ceci doit être probablement lié à l’éducation et la civilisation des hommes , alors que face aux aspects du vandalisme , Cazaux affirme que les autorités responsables font de leurs mieux pour décourager ces actes coléreux, que ce soit les techniciens des cabines téléphoniques ou le service de propreté ; la police et les forces publiques se contentent de livrer des moyens de protection contre les agressions, tel a décrit Vilefaure pour dire implicitement qu’ils sont impuissants devant ces actes de violence .
3-Quels moyens pour lutter contre la violence ?
La multiplication des patrouilles de police, un éclairage urbain massif, une répression régulée sont les moyens proposés, dans le texte de Boucher, pour remédier à ce phénomène qui ravage toutes les villes. Tandis que Calzaux, parle des cabines téléphoniques transparentes, des gaines métalliques résistantes, des chalumeaux à vapeur mais aussi de peintures spéciales, pour que les graffitis et les affiches ne pourront se maintenir sur les murs. Vielfaure, décrit les différentes façons de barricader son appartement et attitudes à avoir pour faire face à