Oral argumentatif
Premièrement, le manque de sommeil des étudiants serait un des facteurs d'échec scolaire, puisque le fait d'allez à l'école à temps plein et de travailler à temps partiel affecte le sommeil et donc les nuits sont plus courtes. Selon Julie Carrier, une chercheuse à l'Université de Montréal, la qualité de notre sommeil serait aussi vitale pour notre santé que celle de l'air, de l'eau et de la nourriture : << on devrait accorder au sommeil la même importance qu'on donne au fait de bien se nourrir ou de faire de l'activité physique >>. Il faut en moyenne à un jeune adulte de 8 à 10 heures de sommeil car à l'inverse, cela peut engendrer de graves problèmes de santé comme le diabète, l'hypertension artérielle, l'obésité et la dépression ( et j'en passe ). Il y a aussi été démontré qu'un sommeil médiocre nuit au rendement scolaire, à l'apprentissage, à la mémoire et aux fonctions essentielles à la réussite scolaire. Selon Reut