Oula

733 mots 3 pages
L’inclusion des personnes handicapees, un droit.
La scolarisation des jeunes handicapés constitue aujourd’hui un défi majeur pour nos systèmes éducatifs et met à l’épreuve leur capacité à assurer l’égalité des droits et des chances à tous les enfants et adolescents. Les enjeux sont fondamentaux pour le devenir de nos sociétés : il s’agit de donner à chacun les moyens de valoriser ses capacités, d’accéder à la connaissance et d’apprendre à vivre ensemble.

Ils impliquent, pour l’école, à la fois la mise en place de nouvelles approches pédagogiques, l’adaptation des apprentissages, la mise en pratique des valeurs de solidarité et de respect de la différence, l’ouverture au travail en équipe et à la collaboration avec les familles.
La notion d’école inclusive repose en premier lieu sur un principe éthique : celui du droit pour tout enfant, quel qu’il soit, à fréquenter l’école ordinaire. Elle s’oppose à l’exclusion ou à la mise à l’écart de certaines catégories d’enfants, en fonction de leurs caractéristiques. Elle se distingue aussi de l’intégration dans le sens où il ne s’agit pas d’accepter à l’école, ou d’y réintégrer, des enfants considérés au départ comme nécessitant une éducation séparée, en raison de différences ou de particularités.
Ce principe dépasse largement les seuls enfants en situation de handicap et concerne l’ensemble des élèves, quelles que soient leurs caractéristiques, individuelles, sociales, culturelles. Poser ce principe ne signifie pas pour autant un nivellement des différences, mais au contraire une reconnaissance de la diversité. L’objectif est de développer une école qui accepte et prenne en compte les différences.
Il y eu « Intégration », puis « insertion » et maintenant « Inclusion ». Quelque soit le mot employé, il s’agit toujours de mettre « in » quelqu’un qui est par conséquent décrété « out » : « in » quoi ? L’école, la « société », le « monde du travail », la « culture » ?
Qui s’agit-il d’inclure ? Les handicapés, les sdf,

en relation

  • Otawa
    2577 mots | 11 pages
  • Ouhloul
    957 mots | 4 pages
  • Olool
    319 mots | 2 pages
  • Oula
    1972 mots | 8 pages
  • MEMOIRE sur les sourds et malentendants
    8578 mots | 35 pages
  • oaea
    2993 mots | 12 pages
  • ouuiy
    620 mots | 3 pages
  • Oulala
    489 mots | 2 pages
  • Olala
    1279 mots | 6 pages
  • oauis
    345 mots | 2 pages
  • Oula
    314 mots | 2 pages
  • Looool
    594 mots | 3 pages
  • Olum
    562 mots | 3 pages
  • ouaok
    4522 mots | 19 pages
  • Olala
    1585 mots | 7 pages