Paradigmes
MNG-6042-Module 1
Les paradigmes et moi
Travail présenté à
Monsieur Jocelyn Benoit
Programme de deuxième cycle en développement des organisations
Université Laval
(Automne 2011)
Une organisation est composée, au même titre qu’une société, d’un ensemble d’individus en interaction. Une multitude de visions, de théories et d’hypothèses peuvent donc émerger face à la résolution d’un problème. Dans le cadre de ce travail, j’ai interrogé quatre collaborateurs, s mon cas, je suis du type interprétatif, ce qui veut dire que je tends vers l’ordre aux mêmes titres que deux des mes collègues[1]. Les deux autres collaborateurs[2], tendent plutôt vers les changements radicaux.au sein de mon organisation, dans le but d’identifier les paradigmes qu’ils utilisent comme point de vue particulier sur une société. Les résultats obtenus[3] sont analysés et comparés à mon propre paradigme.
En 1979, Gibson Burrell et Gareth Morgan[4] ont déterminé quatre paradigmes sociologiques : le fonctionnaliste, l’interprétatif, le radical humaniste et le radical structuraliste. Selon eux, chacun de ces paradigmes guide nos interprétations et nos actions. À partir des paradigmes, naîtront des écoles de pensées basées sur l’utilisation des métaphores[5]. Ces images ou formes symboliques associées aux organisations (ex : machine, organisme, culture, système politique etc.) servent à formuler des hypothèses et à construire des théories à partir desquelles l’élaboration de méthodes de recherche (quantitatives et qualitatives) appropriées aideront le gestionnaire ou le praticien à trouver des façons inédites de résoudre des problèmes.
Dan
En ce qui concerne mes croyances, la subjectivité me caractérise aux mêmes titres que la majorité des répondants sauf un[6] qui croit en une réalité basée sur une objectivité concrète. En me comparant plus spécifiquement à cette dernière personne, qui est