Paris dans « le fabuleux destin d’amelie poulain »
Travaux de Recherche 2
17/12/2012
Paris dans « Le fabuleux destin d’Amelie Poulain »
Le film "Amélie" n'est ni un paradis ou en enfer. Il est encore une autre interprétation de ce que Paris est inexacte et manque de profondeur. Serge Kaganski critique fortement le film d'être raciste et fasciste. Il a des raisons valables de ces arguments car il y a plusieurs scènes dans le film pour soutenir son argument. Néanmoins, le film est très bien fait et raconte une histoire intéressante. Défauts du film semble être celle d'un petit enfant, ne jamais intentionnel, mais simplement erronée. L'idée que le film a un programme fasciste est un farfelu, mais les sentiments racistes exprimés dans le film sont tous simplement des défaillances de la part de Jean-Pierre Jeunet pour représenter avec précision Paris. Le cinéma est un art et il est destiné à être critiqué. Jeunet a le droit de produire son film, aussi ignorants que cela puisse être, et Kaganski au droit de le critiquer. En fin de compte, le film est un paradis à Jeunet et de l'enfer à Kaganski. Pour le public, nous avons collé entre les deux. Pour les téléspectateurs ignorants, le film est un chef-d'œuvre et pour d'autres le film manque un portrait réaliste de Paris, mais fournit une histoire intéressante et créative cinématographie. Pour comprendre le point de vue de Kaganski, il faut comprendre son argumentation point par point. Dont la première est que le film a un programme fasciste. Le fascisme est « l'engagement à maintenir la pureté d’un ordre donné socio-économique ou politique contre toute opposition et toutes les tentatives de compromis (Wander, 71). » Kaganski soutient que l'interprétation nostalgique du film de Paris est un désir pour le Paris d'hier ; il s'agit d'un Paris de temps plus simples. Un exemple de cette simplicité, c'est que la ville semble vide. Tout au long du film, la ville ne semble jamais avoir plus de dix personnes en un seul endroit à la fois. Vues en continu