Paul verlaine, « le problème de la connaissance », « le problème de la connaissance »

2310 mots 10 pages
Université Paris NanterreTD Épistémologie des Sciences SocialesAnnée 2021-2022
Groupe 04Étudiant : José Scatolão Filho / 40014783Commentaire de texte Paul Lafargue, « Le problème de la connaissance », Revue des Idées, 15 décembre 1910. IntroductionComment connaît-on ? Cette question très répandue dans le milieu scientifique fait partie de l’un des débats importants qui essaient de comprendre comment peut l’homme aboutir à la connaissance scientifique,
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Lafargue affirme que les instruments scientifiques sont limités et imparfaits, car nos sens étant limités, les instruments qu’on crée pour les substituer le seront aussi. Cela pose un problème, vue que la technique nous restreint de la connaissance sur la sensibilité de la matière brute, il serait impossible de tout connaître.Néanmoins, il admet également que la science se perfectionne au fil du temps, nous permettant de nous approfondir et faire progresser des anciennes techniques. Les techniques peuvent se perfectionnent à mesure qu’on se détache de nos sens, de façon que le plus on détache, le plus il sera possible de perfectionner la technique. II. La contrainte de la perception du réel dans les sciences A/ Est-il possible …afficher plus de contenu…

Pourtant cela ne pose pas un problème, car le rôle de la science selon sa pensée n’est pas d’énoncer des théories universelles, mais si d’essayer de l’expliquer par l’observation que prouve que les énoncés ne sont pas faux. C’est la méthodologie du falsificationisme, qui permet la monté en généralité par l’observation jusqu’à que cela change par une nouvelle observation qui contredit ce qui était soutenu avant. Par rapport à la connaissance, il reprend le concept de la neutralité axiologique de Weber pour garantir le détachement des prénotions. La neutralité axiologique consiste d’un refus des jugements de valeurs, selon laquelle Chalmers défend la possibilité d’aboutir à une conclusion objective de l'observation. Cette pensée va à l’encontre de celle de Lafargue, car il prône pour une science universel déductible. De plus, il n’admet pas la connaissance par l’observation, car cela est

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