Pensée de pascal, fragment 230
A- L’infiniment grand
* Vu par l’homme
* Imaginé par l’homme
* Amplification progressive
* Hyperbole
* Le fait de prendre l’homme comme point de référence (que l’Homme contemple, …) souligne la petitesse de celui-ci par rapport au Cosmos
B- L’infiniment petit
* Présenté comme un autre prodige
* On part du ciron, qui est décomposé jusqu’à ne plus être sécable
* Sollicitation de l’imagination
* Ordre d’énumération inversé par rapport à l’ordre de description de l’infiniment grand.
* L’homme se sent un « colosse » / « un monde » / « un tout à l’égard du néant »
C- L’infiniment grand contenu dans l’infiniment petit
* Parallélisme pour évoqué l’infiniment petit et l’infiniment grand (immensité, univers, terre)
II- L’argumentation
A- Pascal, guide du lecteur
* injonction (ordre) (que l’homme contemple, que l’homme regarde) * le pronom « nous » englobe le lecteur * « je veux lui faire voir » : Pascal prend en charge la visite des deux infinis
* 3 questions de rhétorique) : le lecteur est accompagné et se laisse conduire par l’auteur.
B- Vers un Dieu caché
* L’homme est dans une situation inconfortable au centre de l’infini.
* Le vertige est accentué par des hyperboles, énumérations et paradoxes : c’est une sphère dont le centre est partout, la circonférence nulle part( paradoxale pour un mathématicien)
* Texte présenté comme une dramatisation progressive : de l’admiration (« majesté », « délicate lumière ») à l’effroi (« néant », « trembler », « s’effrita »)
* Pascal pousse l’homme à chercher un réconfort en Dieu.
La raison de l’homme est rabaissée pour favoriser l’adhésion aux faits.
-Conclusion
Pascal cherche, à l’aide de la persuasion, à évoquer la disproportion de l’homme face au monde qui l’entoure. Il l’incite donc à se réfugier dans la