personnage repoussant.
-personnages atypiques ; roman ; portraits ; textes descriptif.
-citation : «je trouve autant de différence de nous à nous-même que de nous à autrui »
Idée directrice : La présence d’un personnage repoussant dans un roman peut nuire à l’attention de sa lecture.
-le personnage repoussant à un effet négatif sur le lecteur.
Argument 1 : Il est évident que dans un premier temps tous ces romanciers ont voulu frapper le lecteur et retenir son attention en victimisant leurs personnages. (Apitoiement sur les personnages) Les romanciers utilisent le registre pathétique pour nous faire ressentir une partie de la souffrance de leurs personnages. Dans Eugénie Grandet, Balzac évoque ainsi une « une créature femelle»(l.6) en parlant de Nanon. Le personnage de Gwynplaine peut de même émouvoir le lecteur par sa souffrance, face aux moqueries dont-elle est victime. Les romanciers non pas choisit le point de vue interne par hasard il se révèle en outre précieux pour pousser le lecteur a entrée dans les pensées du personnage et éprouvés de l’angoisse pour ces derniers. Les lecteurs ont alors conscience du malheur des personnages et donc de l’atmosphère dans laquelle ils vivent et préfèrent alors l’ignorer pour mieux se préserver. (dénit)
Argument 3 : Le lecteur éprouve une frustration par rapport à la laideur du personnage et n’adhère pas à l’histoire. Les personnages rebutent tout d'abord certains lecteurs. Une certaine distance peut alors s'installer le long de la lecture, d'autant que les auteurs n'hésitent pas, bien souvent, à amplifier les défauts de leurs personnages à l’aide de plusieurs procédés comme l’hyperbole la comparaison ou les analogies. Par exemple Albert Cohen utilise une hyperbole pour exagérer la dimension des pieds de son personnage Mangeclous. Le lecteur n’identifie donc pas le personnage fictif au quelle il