Perversion
Chaque personne apprend dès ça naissance des valeurs, des lignes de conduite, ce qui est ''bien'' et ce qui ne l'est pas. Plus le temps avance, plus l'on développe sa propre façon de voir le monde et notre façon d'agir vis-à-vis lui. On finit tous par se faire notre propre idée des limites à ne pas franchir, des états d'esprit à adopter, de ce qui est ''bien'' et de ce qui ne l'est pas.
Qu'arrive-t'il quand l'on se perd, quand on ne le voit plus, quand nos idées de se qu'est la vie ne fonctionnent plus ? Il est surement considéré comme étant mal, d'aimer détourner la façon de voir qu'on les gens, pour qu'elle s'avère être devenue malsaine. Mais encore là ou est la limite entre le ''sain'' et le ''malsain'', y en a t'il une ? ''aimer détourner la façon de voir des gens'' pas vraiment, vouloir voir comment les gens appréhendent certaines situations dans un autre état d'esprit, oui, mais cela sans pour autant les comprendre.
Cela doit venir du fais que nous même, nous ne saurions pas comment réagir dans de ''tels situations'' , nous sommes perdus après tout.
Citation de : http://aucoursdureel.blogspot.ca/2011/08/la-perversion-nihiliste-chez-nietzsche_26.html
"Ce nihilisme radical, et pourtant teinté d'espérance, est singulièrement nuancé." (Halévy, p. 425).
Non seulement le nihilisme ne contient aucune positivité, mais il est amusant d'entendre Nietzsche évoquer l'espérance, lui qui par principe la condamne au nom du réel qui selon lui se résume au sensible. L'espérance comporte certes une signification de réussite (le nihilisme trouverait enfin un sens parachevant son entreprise négative) plus marquée que lors de l'évocation assez contradictoire du trou (comme un aveu d'échec), mais cette espérance ne peut que