-Conclusion transition:

Le chimpanzé ne dispose pas de la parole et de toutes les facultés humaine (il ne peut pas simuler ce qui n'existe pas). Cependant cela montre que le vivant dispose de facultés de capacité apprentissage qu'il ne met pas en œuvre dans la nature. L'homme a donc aussi des capacités supérieures que l'homme ne met pas forcément en œuvre pour vivre. (Exemple: Utilisation de 10% de notre capacité pulmonaire). Le vivant a des ressources supérieures. A partir de cette deuxième partie nous allons pouvoir développer.

II- Les mots et les choses:
A- Le mot, lieu de la pensée:

Le mot est un signe, il fait signe vers quelque chose qui n'est pas là (=la chose); le mot désigne la chose en son absence; on dit dons des mots et non pas des choses (cela est possible puisque mon rapport aux choses est médiatisé par mon intelligence). En effet, elle dégage le contenue du signe d'un temps et d'un espace particulier pour (idée générale) elle en fait donc une représentation toujours et partout disponible: si bien que l'on peut dire : «C'est dans le mot que nous pensons», Hegel. Il dit «dans» et non pas «avec». La pensée se trouve déjà dans le mot lui même. Le mot n'est pas un simple outil de la pensée mais il renferme de la pensée.
La pensée se loge dans le langage et dans le mot puisque le mot est un signe (rapport avec la chose). Le mot et la chose sont 2 réalités complètement différentes. Le signe est le support d'un concept (il a une signification) chaque mot a son sens précis qu'il faut respecter. Comme le signe, le mot est le support d'un concept alors l'esprit est libéré de la présence d'une chose et peut parler de la chose (c'est au fondement de la liberté de la pensée). L'homme peut penser puisqu'il peut parler de chose qui existe ou pas toujours et partout. Ceci est réalisable parce que le mot est le résultat d'une abstraction (la chose n'est pas abstraite, elle est contrainte alors que le mot est abstrait du rapport avec la chose). Chez