Philosophe par abstraction
Cela a commencé dans une soirée de retrouvaille entre cinq vieux copains âgés d'une trentaine d’années, les femmes étaient aussi de leurs côtés car nous étions réunis pour le foot et la partie de tarot. La bière coulait à flot et bien sûr on parlait cul. Nous en étions à évoquer nos premières expériences sexuelles et j'ai eu du mal à croire ce que j'ai entendu.
Quatre d'entre-deux m'avouèrent s'être dépucelés mutuellement avec leurs sœurs, le cinquième qui était fils unique s'est quand même rabattu sur sa cousine. J'ai cru à une blague commune due aux effets de l'alcool mais ils m'ont chacun détaillé leur histoire. Quand mon tour arriva de raconter mon histoire, ils s'étonnèrent que je n'ai jamais couché avec ma sœur de six ans mon aînée :
"comment tu n'as jamais essayé de te faire ta frangine, c'est un canon! Moi je répondais : " mais c'est ma sœur justement, j'en n'ai jamais eu envie."
Je me suis fait traiter de fou au point de me demander si j'étais normal ou si c'était eux qui étaient cinglés. La soirée s'est terminée et je me suis retrouvé au lit avec ma femme. Ces histoires m'avaient quelque peu dérangé et je me suis imaginé en train d'essayer de baiser ma sœur mais non impossible de faire ça, c'est répugnant.
Lors d'une autre partie de cartes, je branchais les copains sur le sujet:
"vous vous êtes bien foutus de ma gueule l'autre soir avec vos histoires d'incestes!
"Mais ces histoires sont authentiques rétorqua l'un d'eux, je t'assure".
"Mais c'est pourri " répondis-je, et vos sœurs, qu'en pensent-elles"?
Ils m'expliquèrent qu'elles prenaient beaucoup de plaisir, plus qu'avec leur mari et que c’étaient elles qui en redemandaient. "
Tu devrais te débarrasser de tes tabous et essayer de t'envoyer ta frangine, me dit mon vieux pote, crois-moi