Philosophie et prière
Tu ne veux pas admettre que la souffrance te sanctifie, toi. Crois-en humblement, les promesses de Notre-Seigneur, l’exemple des saints et les affirmations de ceux qui te parlent au nom de Dieu. Petit-à-petit, Notre-Seigneur te conquiert et te prend pour lui. Sans doute, la paix du cœur, sa dilatation au milieu de chaudes et reconnaissantes affections, est plus harmonieuse, plus normales, plus propre à l’action facile, que l’isolement et les brisures. (Ainsi en est-il de la santé relativement à la maladie…) Voilà pourquoi nous devons tendre, par nos efforts