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CHAP 4 :
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L’EGO ET L’INTENTION DU MAL
15/10/10
Devoir à rendre dans 3 semaines

Le bien ne fait pas problème, c’et le mal : intentions de l’homme, intention de nuire à quelqu’un d’autre.
Volonté mauvaise logée dans la nature de l’homme ? Péché originel ?
Hypothèse d’un mal de l’homme radical ?

A- Les formes de la conscience.

Comment l’enfant structure t-il la dualité du bien et du mal ?
Quelle prise de conscience B-M ?

Le dilemme de Heinz
Selon Colberg il y plusieurs niveaux à la conscience morale :
Au niveau 1 : Chez les tout petits, le bien et le mal s’associe au plaisir et à la douleur. La lettre à Ménécée d’Epicure semble partager cette idée en étudiant les conséquences. Sénèque montrera que le plaisir n’est pas forcément le bien car il y a des plaisirs vicieux.
Au Niveau 2 : L’ado grandit avec le donnant donnant puis l’autorité des parents : le mal c’est ce qui est interdit (punition) et le bien ce qui est récompensé Niveau de la conscience morale ou l’individu s’incline devant une loi qui retourne une récompense,
L’intention du bien pour être récompensé et ne pas faire le mal pour ne pas être puni. Certains individus sont sensible au blâme et au mérite et donc très sensible à l’autorité.
Au niveau 3 : La moralité est conventionnelle, l’individu commence à chercher l’accord et la conformité avec les autres. La moralité devient exigence sociale « faut être quelqu’un de bien ». L’image du « moi » joue un grand rôle et la conscience se situe par rapport à un « moi idéal » qu’elle va structurer.
Au niveau 4 : C’est une moralité abstraite : respect de la loi et de l’ordre. L’homme est sensible à la voie de la société et au sens du devoir. Critère qui justifie la réprobation du criminel.
Au niveau 5 : L’individu va être plus rationnel et moins conformiste. Prend pour critère la loi qui sert le bien commun, le bien être commun de la