physiologie des étirements
Étirement vient de « to stretch » qui signifie étiré. Le but des étirements est l’acquisition de la qualité de souplesse permettant de réaliser un geste ou une suite de geste avec un maximum d’amplitude et d’harmonie. Le terme stretching recouvre toute sorte de pratique, historiquement il correspond aux technique reflex misent au point par les Kabat, Knot et Voss dans les années 50 sous le nom de Facilitation Proprioceptive Neuromusculaire.
On définit aussi le terme de souplesse et d’assouplissement : La souplesse est le terme le plus large qui en Anglais correspond flexibility. C’est à dire la possibilité de se plier « facilement ». L’assouplissement, pour prendre les termes les plus larges possibles, viserait la suppression des tensions susceptible de limiter ou de contrarier le mouvement. Recouvrant ainsi tout les domaine dans lesquels la souplesse est susceptible de s’exprimé.
La souplesse articulaire concerne la structure des articulations et la capacité d’étirement concerne les muscles, les tendons, les ligament et les structures capsulaire.
B/ Présentation des structures mise en jeux leur d’un étirement
Un étirement peut donc agir sur les 3 composantes anatomiques principales, par degré décroissant d’extensibilité, nous avons le muscle, l’aponévrose, le tendon.
Le muscle est l’élément anatomique le plus déformable, il entre en relation avec les 2 autres. L’aponévrose des muscles à des fibres maillet plus lâche
(ORGANISATION MICROVACUOLAIRE TRIDIMENSIONNELLE), elle est de se fait plus déformable que le tendon. Celui-ci constitue un dérivé d’aponévrose avec une organisation différente et plus dense des fibres de collagène. Ces structures seront présentées par ordre décroissant d’extensibilité : Le muscle Il existe différente sorte de muscle dans le corps.
Le muscle squelettique est le plus souvent étiré. Il fait partie du système ostéo-musculo-ligamentaire. Nous constatons que le muscle est