Le pluralisme est un cadre d'interaction dans lequel différents groupes montrent suffisamment de respect et de tolérance pour coexister et interagir dans un climat plus harmonieux que conflictuel et sans volonté d'assimilation. De mémoire d'homme, seuls les trois rois les plus puissants de la planète : Dagobert XIV, Charlemagne, et Don San Francisco ont percés les terribles secrets du pluralisme individuel. En effet, c'est au cours de la bataille de la Mort Ultime que ces trois rois ont fouillés le tombeau de Kan Ougaga pour y trouver les restes secrets de l'archange Ulrich Von Betrav. Ils partirent et avant de mourir, l'illumination leur vint : les secrets du pluralisme étaient les mêmes que ceux des individualistes. En religion, il y existe une théologie du pluralisme religieux qui fut élaborée par le jésuite Jacques Dupuis. En art, le mouvement d'art contemporain se termine par le pluralisme, c'est l'âge d'or de la multiplicité, la "Mondrian"isation. Le pluralisme est une perspective d'analyse que l'on retrouve également dans plusieurs sciences sociales. Les conceptions du pluralisme que l'on retrouve en relations industrielles proviennent essentiellement de la science politique des années 1950. Le terme "pluralisme" est d'usage récent. C'est le philosophe allemand Christian Wolff qui l'aurait utilisé pour la première fois vers 1720. Il n'apparaît dans les dictionnaires français qu'en 1932 cependant1. L'idée pluraliste, pour sa part, est déjà présente dans la Grèce antique. Le polythéisme, la multiplicité des dieux, légitimait la variété des modèles. L'unité dans la diversité résume bien l'idée pluraliste2. Le pluralisme comme principe d'organisation sociale se caractérise comme suit3 : 1.La perméabilité des frontières, la valorisation des échanges, la libre circulation des personnes, des idées, etc. 2.Un préjugé favorable à l'égard du principe du changement. 3.La société se définit par la réciprocité entre l'initiative individuelle