Poeme sur robert louis stevenson
Alors que j’errais sur cette ile perdu, le soleil tapait sur mon crane et mes seules ressources étaient une fiole de rhum et mon porte bonheur, ma dent de requin : elle symbolise la mer, la nature et ma liberté… Avec ce rhum le soleil semblé taper de plus en plus fort puis comme par magie il faiblissait au profit d’une vague d’étoiles et le sable semblait devenir mouvant ! Cela était causé par ta personne, R.L. Stevenson ?
Je marchais, en m’enfonçais dans l’ile ta présence ne devenait plus irréel mais réel… Tu étais là et tu marchais près de moi ! Je te demandais : Est-ce que je rêve ? Est tu vraiment là ? Pourquoi était tu habillé comme un pirate ? Tu ne me répondis pas … Je compris alors que tu n’étais pas vraiment là …
Je cherchais alors une issus, pour sortir de cette ile. Mais, je tournais en rond ! A cet instant quelqu’un me tapait sur mon épaule, je me disais alors que c’était toi qui revenait ! Je rouvris les yeux et je me retrouvé allongé dans une pièce sombre : ma