Poesie des villes
Nature ou autres thèmes lyrique. C’est peut être vrai, pour la poésie française, avant le XIXe siècle et le romantisme. Mais, dans le même temps, la ville devient un sujet poétique par excellence et attire l’attention et l’intérêt de nombreux lecteurs et poètes .
Intro :
Le fait d’évoquer des villes permet de poser un cadre spatio-temporelle réaliste au lecteur, ce thème donne l’opportunité à celui-ci de s’identifier plus facilement a une scène qu’un autre thème plus lyrique et bien souvent plus vague …………...
Senghor use justement de ce procédé dans un de ses poèmes très connus in Ethiopiques « A New-York ».
Cependant, même si cette thématique de l’urbanisme reste quelque chose de réaliste ça n’empêche pas certains poètes de « modeler » la clarté de ce thème en ajoutant une part de mystère (par ex : le choix de ne divulguer aucun nom d’endroit(s)) afin de laisser libre cours à l’imagination de la personne qui lira ce poème ou alors laisser apparaitre certains indices pour l’obliger à se poser des questions ( faire réagir par le biais de la raison ou encore obliger à participer au sens de l’œuvre…) comme dans le « Paysage » de Charles Baudelaire, il fait alors allusion à Paris, la ville moderne, de façon implicite.
Ce modernisme mis en valeur par la présence de l’industrie (cf. chant lexical manufacturiste : « les tuyaux »; « l’atelier »; « les fleuves de charbon »
On retrouve aussi une personnification : « L'atelier qui chante et qui bavarde », toujours en voulant représenter Paris comme une ville d’avenir, de lumière, d’ailleurs on fait beaucoup référence au ciel, « le soleil » « étoile »⋄ guide.
« Le ciel » qui peut aussi être associé a un contexte onirique, un conte de fée paradisiaque « féeriques palais » « je rêverai » ou encore d’autres thermes comme naitre⋄ nouveauté, vie ) voilà un exemple de l’ensemble des détails importants que