Pourquoi le clonage apparaît toujours comme une mauvaise chose alors que l’euthanasie est de mieux en mieux acceptée ?
Pourquoi le clonage apparaît toujours comme une mauvaise chose alors que l’euthanasie est de mieux en mieux acceptée ?
Depuis le 7 Août 2004, article 16-4 du Code civil français dit : « Nul ne peut porter atteinte à l'intégrité de l'espèce humaine.
Toute pratique eugénique tendant à l'organisation de la sélection des personnes est interdite.
Est interdite toute intervention ayant pour but de faire naître un enfant génétiquement identique à une autre personne vivante ou décédée.
Sans préjudice des recherches tendant à la prévention et au traitement des maladies génétiques, aucune transformation ne peut être apportée aux caractères génétiques dans le but de modifier la descendance de la personne. » Ce qui interdit à n’importe quelle personne la pratique du clonage. Et 70% des français sont contre le clonage reproductif pour différentes raison.
En France, l’euthanasie est considérée comme un meurtre ou un empoisonnement prémédité, ce qui est, en théorie punissable par une peine à perpétuité. Le 24 novembre 2009, les députés français ont rejetés une proposition de loi présentée par un député socialiste visant à légaliser l'euthanasie dans certaines conditions (306 contre 202). Mais d’après un sondage de 2000, 70% du monde médical français pour l’exception à l’euthanasie c'est-à-dire un acte voulu par le patient ou son représentant et avec l’accord avec ses médecins. (D’après l’INSERM).
Nous pouvons nous demander : Pourquoi le clonage apparaît toujours comme une mauvaise chose alors que l’euthanasie est de mieux en mieux acceptée ? Nous allons essayer de répondre à cette question en étudiant dans un premier temps le clonage puis l’euthanasie.
En France 70% des français sont contre le clonage. 10% y sont indifférents, et 19% semble intéressés. Parmi ceux qui sont contre : 52% veulent laisser la nature suivre sont cours. 40% craignent le développement du commerce des êtres humains. 30% le trouve immoral. 30% craignent une dérive eugéniste (personnes