Poésie engagée
Les trois poètes mettent la poésie au service de la dénonciation de l'occupation allemande et appellent implicitement ou explicitement a la résistance des français face au occupant.
Dans le texte 1 Michaux dénonce la trahison du gouvernement de Vichy et part delà celle de ses compatriotes qui on soutenue ce régime. La dénonciation de la trahison s'accompagne d'un sentiment de honte et d'humiliation qu'éprouve le poète : « Nous nous sommes regardé dans le miroir du sceaux insulté […] Dans le miroir charbonneux de l'avanie. Le poète conclut sur l'amer constat de la régression. Morale des français en cette période de guerre qui sont « retournés aux sources glauque », c'est adire qui on révélé leurs instinct les plus primitifs et les plus sordides.
Proche de « la lettre » d'Henri Michaux, le poème de Pierre Emmanuel, dénonce tout autant la trahison de ceux qui accepte de collaborer, avec les expressions, « lèvres sans visages », « se parjurant dans les ténèbres », « l'aire prostitué au mensonge » et « la voix souillant jusqu'au secret de l'âme ». Mais le poème fait appel au sentiments de vengeance de « million de français », « qui on le feu sanglant, et la soif rageuse d'être libre », car pour le poète tant qu'il y a de la haine, il y a de l'espoir.
Enfin, le poème de Desnos intitulé « demain », est un message d'espoir qui a pour but, d'encourager les résistants a poursuivre la lutte. Car c'est l'espoir qui non seulement maintient en vie, dans un environnement hostile dominé par la souffrance et la peur (vers 5 à 8) et qui donne la patience