president de la republique et le PM
Y. M ORILLON
Théorie de la randomisation
Revue de statistique appliquée, tome 8, no 1 (1960), p. 29-44.
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DE LA RANDOMISATION
Y. MORILLON
Ingénieur
à l’Institut de Recherches de la
Sidérurgie
Cette no te ne pré tend donner qu’un ape rçu sommaire des problèet de leurs solutions. Elle est basée essentiellement sur les publications de Kempthorne. (1) (2)
mes
posés
Cette note concerne 4 commune est
la caractéristique expérimentales soumises à
types de plans dont
d’utiliser toutes les unités
l’opération de randomisation. Comme on le verra, but ions des rapports de carrés moyens est, dans
l’étude des districonditions, sim-
ces
pl if iée
car certains termes figurant dans la décomposi t ion de la somde carrés ne sont pas aléatoires dans l’hypothèse nulle (du moins avec certains modèles). La théorie de la randomisation a été appliquée à des plans ne présentant pas cette caractéristique; on en trouvera un exemple dans un article de Wilk et Kempthorne.(3)
me
On conçoit bien que lorsque le nombre d’unités expérimentales utilisées est petit devant le nombre total d’unités disponibles, on
1
retrouve l’analyse de variance classique sans toutefois que les hypothèses de normalité etc. soient nécessairement satisfaites. Ceci rejoint l’objet d’une autre étude et nous n’envisagerons pas ces problèmes