processus, acteurs et flux de la mondialisation
la complexité géo-économique du monde : les cartes montrent la persistance d'inégalités de dévellopement.Cependant, la limite Nord/Sud , est de moins en moins évidente.
Les cartes permettent de lire l'explosion des flux dans la mondialisation.
Elles renforcent la conscience d'interdépendance entre les différentes parties du monde.
Un monde polycentrique s'affirme, en raison du déclin relatif de la puissance des états-unis et de la montée en puissance des pays émergents. Face à la diversité des flux et à leur multiplication, la construction des cartes donne à lire une réalité temporaire .
La complexité géopolitique du monde : les conflits actuels ont changé de nature et leur nombre baisse .Les stratégies des états étant multiples et évolutives , les cartes géopolitiques doivent être lues de facon critique .
Les conflits ont surtout lieu dans les espaces en retard de dévellopement :
80% des PMA connaissent ou ont connu un conflit depuis 1990. La cartographie des conflits est difficile, car les évolutions sur le terrain sont rapides
Certains pays émergents veulent plus de reconnaissance dans les affaires internationales.L'extension du G8 et du G20 illustre cette tendance.
La complexité géoculturelle du monde .
La mondialisation rend plus difficile la cartographie des contrastes culurels.En raison des flux humains et culturels, la représentation d'aires de civilisation doit être lues de façon critique
Plusieurs découpages ont cependant été tentés.Huntington, universitaire américain, divise le monde en 9 aires de civilisation selon des critères essentiellement religieux et ethniques, tandis que le géographe Lacoste limite leur nombre a 5 .
Les cartographes influencent la maniere de voir le monde. Ainsi Huntington évoque un risque de conflits entre civilisations. Or sa vision cartographique ignore les fractures interne à chaque civilisation . Il est donc indispensables de changer l'echelle