production en juste temps
Avant de commencer la présentation de ce travail, on profite de l’occasion pour remercier dans un premier temps, toute l’équipe pédagogique de l'Institut supérieur de génie appliqué (IGA) . nous tenons à exprimer nos remerciements, tout d’abord à notre professeur Monsieur Samir ERRABIH qui n’a pas cessé de nous encourager pendant la durée . Nous le remercions également pour l’aide et les conseils concernant les missions évoquées dans ce rapport, qu’il nous a apporté lors des différents suivis, et la confiance qu’il nous a témoigné.
avant propos
Les produits standards fabriqués en très grande quantité sont de moins en moins convoités par les consommateurs. En effet, ces derniers préfèrent acheter un produit d’excellente qualité, correspondant parfaitement à leurs besoins à un prix abordable.
Cette nouvelle réalité oblige les entreprises à passer d’une production de masse, à bas prix, destine à un client standard, à une production de qualité de plus en plus diversifiée. De surcroît, la globalisation des marchés exige de ces mêmes entreprises qu’elles réduisent leurs coûts de fabrication, afin d’offrir un prix de vente concurrentiel et qu’elles accélèrent la commercialisation de leurs nouveaux produits. Ainsi, afin de répondre aux exigences des clients, les entreprises tentent de rendre plus flexibles et plus efficientes leurs méthodes de production. Pour ce faire, plusieurs ont adopté le juste-à-temps appelé JAT.
La majorité des gens ont une bonne idée de ce qu’est le juste-à-temps, toutefois ils ne s’entendent pas tous sur une même définition. Ainsi, certains croient que le juste-à-temps ne concerne que les fournisseurs et d’autres que cette méthode ne vise qu’à diminuer les stocks. En fait, la notion de l’ingénieur Taiichi Ohno (inventeur du concept du JAT) est beaucoup plus complexe et nécessite d’être bien comprise avant que toute entreprise, manufacturière ou de service, décide de livrer ses produits selon cette méthode.