Préface qui ne respecte pas les bienséances
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SUJET D’INVENTION :"Le théâtre classique impose aux dramaturges de développer une seule action dans un lieu unique en l'espace d'une journée, afin d'assurer la vraisemblance de la pièce aux yeux du spectateur. Imaginez la préface d'une pièce de théâtre dont l'auteur se refuse à respecter ces conventions"
Cette œuvre s’intitulant « Jean et Jacques, ou l’Absurde des Lumières » est en réalité une pièce de théâtre qui entrave toutes les règles de bienséance imposées par le théâtre classique.
En effet, il s’agit de la vie de deux frères, jumeaux dont on découvrira qu'ils sont les fils de monsieur Diderot. L’un fut caché, abandonné dans un orphelinat, et l’autre exposé comme l’unique enfant d’une belle famille unie.
Nous avons alors l’impression de lire deux pièces de théâtre en une seule. Nous verrons grandir et mûrir chacun d’entre eux dans deux atmosphères totalement différentes. Un coté bourgeois dans la haute de la société Parisienne au XVIIIème siècle et un autre qui erre dans les rues de la banlieue pour gagner ou voler de quoi survivre. Ce banlieusard cherchait ce frère en s’approchant de lui au plus près sans vraiment le reconnaître.
Nous suivrons la vie du fils célèbre de sa naissance à sa mort. Et nous remonterons le temps de l'inconnu pour au final découvrir sa parenté. Cette manière de suivre la vie de ses deux frères nous amène a jongler perpétuellement avec le fil du temps.
J’ai intitulé cette œuvre « Jean et Jacques, ou l’Absurde des Lumières » car il s’agit d’une pièce impliquant deux vies parallèles. Une pièce qui nous dévoile tout sur leur destinée, de leur naissance à la mort, et de la mort à la naissance. Le premier deviendra un grand homme et ceci se devine dès sa venue au monde, et l’autre resta un inconnu.
« Absurde » pour la révélation d’une vie cachée de Monsieur Diderot et « des Lumières » pour montrer que même à cette époque des Lumières il pouvait y avoir des zones d'ombres dans la vie des plus grands.
Quant au choix des