Psp1271 : xp71 régulation émotionnelle et impulsivité en situation d’apprentissage
1. Résumer un article
Beaucoup de gens succombent à la tentation malgré que nous le regrettions par la suite. Dans l’étude que nous allons suivre, les auteurs ont testé l’hypothèse que en réinterprétant la tentation comme une épreuve de volonté, on réduirait la tendance à succomber en réduisant l’appel de la tentation.
Les tentations nous entourent mais elles sont aussi des sources de tourments pour chacun. Notre combat contres les tentations est constant et son succès est loin d’être assuré. Peu de personnes contesteraient que l’autodiscipline (self-control) puisse améliorer notre qualité de vie. La capacité de résister à la tentation est un prédicteur important en matière de réussite scolaire, de comportements de santé et d’abus de substances (Mischel, Shoda & Rodriguez, 1989 ; Tangeney & al, 2004).
Tentations
Beaucoup des dilemmes que nous vivons tous les jours impliquent des incertitudes quant à l’implication de nos choix et ce qu’impliqueraient ces choix.
Dans cet article, les auteurs définissent la tentation comme le désir de se comporter sur une voie qui prévoit d’être regrettée plus tard. Il est important de noter que cette définition ne prend pas en compte les éléments de probabilité, on est plutôt sur que ça mènera à des regrets. Une dernière caractéristique à prendre en compte est que la tentation dépend des personnes et des situations.
Le besoin de satisfaction immédiate
Succomber à la tentation apporte une satisfaction immédiate mais des conséquences négatives contrairement au fait de résister à la tentation qui n’est pas agréable sur le moment mais apporte des conséquences positives. La valeur objective plus basse de la récompense immédiate exerce une grande influence sur notre choix présent en dépit de la plus grande valeur objective de la récompense qu’on pourrait avoir plus tard. Le temps joue donc un rôle critique sur