Commentaire de texte sur le paragraphe 6 de la faculté de juger, kant

2065 mots 9 pages

Zenadji Sahra Commentaire de texte sur le paragraphe 6 de La critique de la faculté de jugé , Kant Le texte que nous étudierons est issu de La critique de la faculté de jugé rédigé par Kant et publié en 1790. Nous …afficher plus de contenu…

C’est un fait, comme le dit Kant un jugement désintéressé mais si ce jugement est comme il l’exprime “un principe de satisfaction pour tous”. A ce moment-là nous comprenons qu’un nouvel argument est en cours de développement : le beau doit faire l’unanimité de tous sujet et non pas être définit comme tel si ce n'est pas le ressenti de tous. Nous sommes donc dans le nerf de l’argument de Kant qu’il va détruire par la suite. Même s’il le mettait en avant antérieurement, le jugement accordé au beau ne peut être jugé du moins son jugement reste désintéressé, nous lui accordons une importance …afficher plus de contenu…

De plus, Kant va rompre avec le terme “semblable” énoncé en amont en exprimant une mince critique du jugement logique qui associait la beauté et l’objet que pour Kant n’ont absolument rien de semblable, delà Kant exprime le fait suivant : “là où rien de semblable” (en hommage à l’objet et au beau) “ne s’associe au pur jugement de goût". Ainsi, Kant va lier ce concept au jugement de goût, nous dépassons donc le cercle esthétique afin d’élargir la définition et de rassemble tout ce qui va et ce qui ne va pas ensemble. D’un autre sens, il est important de comprendre pourquoi Kant évoque le jugement

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Puis-je penser ce que je veux?
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Kant disait qu'un grand nombre d'hommes restent "mineurs" leur vie durant, par manque de volonté, car il est en effet facile, par faiblesse et lâcheté, de suivre des ordres au lieu de penser par soi-même. Cela nous autorise-t-il pourtant à penser de tout "ce qui nous passe par la tête"? C’est sur la nature de l’être humain, faible mais doué de raison, que sont fondés les “Droits de l’homme”, avec la liberté de pensée, liberté d’opinion, liberté de croyance qui c’est développée au fils du temps. Oui, l’homme est libre de penser ce qu’il veut car il est capable de choisir, de dire “oui” ou “non”, mais il doit toujours garder présent à l’esprit le respect de l’autre.….

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Arthur schonpeur
262 mots | 2 pages

Poursuivre ou fuir, redouter un désastre ou chercher la jouissance, c'est en réalité une seule et même chose : l'inquiétude d'une volonté toujours exigeante, quelle que soit la forme sous laquelle elle se manifeste, emplit et trouble sans cesse la conscience ; or, sans repos, aucun véritable bonheur n'est possible. Ainsi le sujet du vouloir ressemble-t-il à Ixion attaché à une roue qui tourne sans cesse, aux Danaïdes puisant toujours pour emplir leur tonneau, à Tantale éternellement….

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Peut-on vivre sans désirer?
1403 mots | 6 pages

Peut-on vivre sans désirer? De prime abord, nous allons définir ce qu'est le désir, c'est la tendance du sujet qui le porte vers un objet qu'il imagine source de satisfaction. Il est proprement humain, il suppose la représentation de l'absence et la conscience de la possibilité de la perte. Le désir renvoie à un manque subjectif lié à ce que un sujet précis éprouve, loin de strictes nécessités biologiques. La satisfaction semble dès lors contingente, c'est à dire non nécessaire même si le sujet souffre d'un manque.….

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Explication de texte kant, critique de la faculté de juger
1570 mots | 7 pages

Dans cette partie Kant analyse les différentes possibilités d’appréciation a la vue d’un palais. Il montre ainsi que l’agréable est avant tout relatif. La seconde partie s’étend de « toutefois la n’est pas la question » jusqu’à la fin de l’extrait. Dans cette partie Kant parle de la distinction entre le beau et l’agréable, distinction ayant pour but de ramener la beauté dans l’objectivité. Partie1….

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Schopenhauer
402 mots | 2 pages

La satisfaction, le bonheur, comme l'appellent les hommes, n'est au propre et dans son essence rien que de négatif, en elle, rien de positif. Il n'y a pas de satisfaction qui, d'elle-même et comme de son propre mouvement, vienne à nous, il faut qu'elle soit la satisfaction d'un désir. Le désir, en effet, la privation, est la condition préliminaire de toute jouissance. Or, avec la satisfaction cesse le désir, et par conséquent la jouissance aussi. Donc la satisfaction, le contentement, ne sauraient être qu'une délivrance à l'égard d'une douleur, d'un besoin , sous ce nom, il ne faut pas entendre en effet seulement la souffrance effective, visible, mais toute espèce de désir qui, par son importunité, trouble notre repos, et même cet ennui qui tue, qui nous fait de l'existence un fardeau.….

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Schopenhauer
561 mots | 3 pages

2ème partie « Or avec la satisfaction cesse le désir et par conséquent la jouissance aussi. Donc la satisfaction, le contentement ne sauraient être qu'une délivrance à l'égard d'une douleur, d'un besoin ; sous ce nom, il ne faut pas entendre en effet seulement la souffrance effective, visible, mais toute espèce de désir qui, par son importunité, trouble notre repos, et même cet ennui qui tue, qui nous fait de l'existence un fardeau. » Le plaisir est aussi le début d’une autre souffrance : « avec la satisfaction cesse le désir et par conséquent, la satisfaction aussi ». Car le désir = le manque.….

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La satisfaction engendre t’elle directement la fidélisation?
630 mots | 3 pages

La satisfaction est le sentiment positif éprouvé par un client à la suite de l’utilisation d’un produit. La fidélité paraitrait donc aux premiers abords être une suite logique à la satisfaction puisque si un client est satisfait d’un produit il paraîtrait normal qu’il s’y attache. De plus, un client heureux, satisfait, est important pour une entreprise car il y a de forte chance qu’il revienne acheter. Ici, on voit bien que le faite d’être satisfait conduit en quelque sorte à devenir fidèle. A contrario, une réputation peut être ruinée par des clients mécontents, non satisfaits.….

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Philo
306 mots | 2 pages

-Tant que notre conscience est remplie par notre volonté, tant que nous sommes asservis à l'impulsion du désir, aux espérances et aux craintes continuelles qu'il fait naître, tant que nous sommes sujets du vouloir, il n'y a pour nous ni de bonheur durable, ni repos. Poursuivre ou fuir, craindre le malheur ou chercher la jouissance, c'est en réalité tout un : l'inquiétude d'une volonté toujours exigeante, sous quelque forme qu'elle se manifeste, emplit et trouble sans cesse la conscience : or sans repos le véritable bonheur est impossible. Ainsi le sujet du vouloir ressemble a ixion attaché sur une roue qui ne cesse de tourner,aux Danaides qui puisent toujours pour emplir leur tonneau , à Tantale éternellement altéré." En ce qui est des pistes à explorer j'ai toujours du mal,et je n'arrive pas a constituer un plan qui puisse parler de tout le texte.je n'arrive pas vraiment a comprendre la fin du texte ( a partir de "tant que notre conscience...")….

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Commentaire de texte kant: l'agréable / le beau
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Kant dans notre texte répond à ce problème en disant que c'est parce que nous confondons deux plans, celui de l'agréable et celui du beau. Disant que c'est à juste titre que le relativisme règne dans le domaine de l'agréable, mais "qu'il en va tout autrement du beau" (l.11). Le problème est donc de savoir en quoi l'expérience esthétique (du beau) est distincte de l'expérience hédoniste (de l'agréable), et nous verrons alors si un jugement esthétique peut légitimement prétendre à l'universalité. Le but de Kant est tout d’abord d’exposer la spécificité du jugement esthétique.….

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Philllllllllo
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BERTRAND Charly TS3 Q'u'est ce que penser par soi-même ? Pascal, dans ses Pensées, présente le fait que « Penser fait la grandeur de l'homme ». En effet, la pensée caractérise la façon d’être et le caractère de l’être humain. Par définition, la pensée est une activité psychique, qui recouvre les processus par lesquels sont élaborés, en réponse aux perceptions venues des sens, des images, des sensations, des concepts que l'être humain associe pour apprendre, créer et agir. C'est aussi, une représentation psychique, un ensemble d'idées propres à un individu ou à un groupe, une façon de juger, une opinion.….

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Uicphilo
372 mots | 2 pages

" Une fois de plus la solution est apportée par le criticisme de Kant : celui-ci montre bien que la connaissance ne saurait dériver entièrement de l'expérience : ses énoncés, en tant qu'ils ont universels, ne sauraient reposer sur elle. La connaissance procède donc d’un composé d’expérience et de concept a priori de l’entendement : "Si toute notre….

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Peut-on obéir à la loi
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Il y a aussi, comme le dit Kant, au-dessus des lois positives qui changent d'un pays à un autre, d'une époque à l'autre, des lois non écrites qui sont intemporelles et que les hommes ne peuvent transgresser sans renoncer à leur humanité. De même, au-dessus des droits positifs particuliers et variables, il y a des….

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Dissertation
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Le jugement de goût n'est pas une faculté de l'entendement (logique), mais de l'imagination (esthétique) Le jugement de goût n'est alors pas un jugement logique, ni un jugement de connaissance, mais un jugement « esthétique, c'est-à-dire un jugement dont le principe déterminant ne peut être rien autre que subjectif » : le jugement esthétique a pour fondement le sujet qui l'exprime. L'imagination, chez Kant, est donc subjective → NB : distinction entre le jugement logique et le jugement esthétique : le jugement logique se rapporte à l'objet pour dire ce qu'il est ; le jugement esthétique se rapporte au sujet pour dire ce qu'il ressent Cette faculté n'apporte rien à la connaissance, en tant qu'elle « ne fait que rapprocher la représentation donnée, dans le sujet, de la faculté des représentations tout entière, dont l'esprit prend alors conscience dans le sentiment qu'il a de son état » ; la connaissance, elle, cherche des informations sur l'objet, pas sur l'esprit du sujet qui juge §2 : Kant dit que « la satisfaction qui détermine le jugement de goût est indépendante de tout intérêt » ; il faut donc faire une distinction entre la satisfaction éprouvée et le jugement en tant que tel. Kant dit que c'est la satisfaction, et non le jugement qu'elle engendre, qui est dénuée d'intérêt.….

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Etude de texte: « reflexions sur l'éducation », kant
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Or celle-ci ne fait que déployer en l'être humain un éventail de qualités, de défauts et de connaissances réduit, dépendant de l'éducateur. Elle ne parvient pas telle quelle est à le perfectionner, mais seulement à le guider partiellement sur la voie qui mène à la perfection. Kant explique à travers ce texte comment il serait possible de parvenir à cette perfection que l'humanité ne fait qu'atteindre de façon partielle, et ce qui freine le progrès de l'homme dans cette voie. Kant amorce son idée dès la première phrase et pose un fait difficilement discutable, « L'homme ne peut devenir homme que par l'éducation ». Il entend par la que le seul et unique moyen de mettre à profit la perfectibilité de l'homme pour le perfectionner, c'est l'éducation.….

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Schopenhauer
425 mots | 2 pages

Poursuivre ou fuir, craindre le malheur ou chercher la jouissance, c'est en réalité tout un : l'inquiétude d'une volonté toujours exigeante, sous quelque forme qu'elle se manifeste, emplit et trouble sans cesse la conscience ; or sans repos le véritable bonheur est impossible. - SCHOPENHAUER, le Monde comme volonté et comme représentation (1818) Callicles : « Le plus souvent la nature et la loi s’opposent l’une à l’autre. (...) Car, selon la nature, tout ce qui est mauvais est aussi plus laid, comme de souffrir l’injustice, tandis que, selon la loi, c’est la commettre. Ce n’est même pas le fait d’un homme de subir l’injustice, c’est le fait d’un esclave, pour qui la mort est plus avantageuse que la vie, et qui, lésé et bafoué, n’est pas en état de se défendre, ni de défendre ceux auxquels il s’intéresse.….

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