Psycholigie
I. L’inconscience 1. La conscience affaiblie Bergson : Ne partage pas les idées de Freud, pour lui il y a des degrés de conscience. Lorsqu’il s’agit des réflexes, la conscience est quasiment nulle. La conscience est maximale lorsqu’on analyse, qu’on se projette dans l’avenir. « Il est inconscient » : Ne réfléchit pas assez, ne mesure pas les risques : Renvoie a l’absence de réflexion, le défaut d’analyse. Dans le rêve, la conscience n’est pas active. La spontanéité : quand on agit de façon impulsive, sans réflexion, sans distance, il arrive qu’on perde le contrôle de soi. Avec un effort, il est possible de se contrôler. Leibniz : Il y a des choses auxquelles nous ne prêtons pas attention. Nous avons une infinité de sensations, mais sans perception. D’une façon générale, dans un champ visuel, nous ne percevons pas tout. Dans une multitude de sensations, nous n’en retenons que quelques unes. Les petites perceptions sont des perceptions non conscientes. 2. La conscience faussée (trompée) Stendhal : Analyse de la passion amoureuse. Observe un phénomène qu’il nomme « la cristallisation » : phénomène en 2 temps. L’amour transforme la personne aimée, l’idéalise. 1. Trouver une nouvelle qualité à cette personne aimée grâce aux expériences vécues. 2. Se poser des questions pour être sur. (raison / imagination ) Schopenhauer : On sait ce qu’il y a en surface, pour ce qui est en profondeur, c’est plus mystérieux. Notre vie psychique : mouvement, agitation autrement dit vie de l’esprit. Notre conscience nous dévoile la surface, dans notre intimité les choses restent floues. Nous ne savons pas tout de nous. « La volonté pousse l’intellectuel » : Je pense conformément à ce qui veut en moi. Dans chaque personne, il y a un « vouloir vivre ». L’amour est une illusion de la conscience. II. L’inconscient (Freud) 1. Mémoire et refoulement (1er topique)
2. La découverte de l’inconscient par Freud
3. Le conflit psychique (2ème