Psychologie
Les deux hypothèses émises par le psychologue nous permettent d’identifier deux variables indépendantes théoriques :
-VI 1 (première hypothèse) : les connaissances que possèdent les étudiants concernant les règles d’utilisation de l’information (avec deux modalités : - connaissances/ - pas de connaissances)
-VI 2 (deuxième hypothèse) : La représentation que les étudiants ont d’eux-mêmes vis-à-vis des exigences académiques de l’université. (avec deux modalités : - représentation positive / - représentation négative).
Nous avons ici deux VI à manipuler. Le plan d’expérience sera donc obligatoirement un plan factoriel.
Enfin, ces deux VI conduiront à la variable dépendante suivante : l’utilisation du plagiat . On attendra deux types de réponses : l’utilisation du plagiat / pas d’utilisation du plagiat.
En ce qui concerne la construction de l’expérience, on pourrait diviser la procédure en deux parties : Une première partie où l’on manipulerait la première VI et une autre partie pour tester la deuxième.
Pour la première VI, on envisagerait de faire passer un test de personnalité sous la forme d’un questionnaire. Les questions porteraient sur la motivation de l’étudiant concernant sa scolarité, s’ il a l’habitude d’utiliser de l’aide , s’il se considère plutôt comme en réussite ou en échec scolaire, sa représentation des études supérieures, sa façon de les appréhender.
Pour les résultats, on en conclurait qu’une majorité de réponses négatives entraîne une image négative de soi, et inversement si les réponses sont positives.
Pour que les résultats soient plus facilement mesurables, on pourrait avoir recours aux questions fermées, qui nécessitent seulement deux types de réponses : -oui/ -non.
Après la description de la première tâche, on peut désigner la variable indépendante opérationnelle :
VIO : Réponses aux questions (-positives/-négatives). C’est une VI invoquée, car elle est uniquement prise en compte par l’expérimentateur. Il ne la