Psychosociologie de la petite enfance
1) La naissance.
Elle suscite l’émerveillement pour les parents et l’entourage (félicitations).
Pour le bébé c’est une étape vraisemblablement vécu comme difficile, c’est le passable brutal d’un état paisible a un état d’agression.
- Souffrance physique lié au effet immédiat le l’accouchement sur le corps de bébé
- Souffrance lié au changement d’environnement (passage du milieu liquide et confiné à l’air libre) à l’air libre ou la lumière est aveuglante et les bruits assourdissant
- La coupure du cordon ombilical impose au nouveau né de faire fasse seul à son oxygénation pour assurer sa survie
- A la naissance le poids du nouveau né est de 3-4 kg pour une taille de 50cm
Le nouveau né manifeste :
- Une hypertonicité des muscles fléchisseur d’où une attitude incurvé
- Une hypotonie axiale rendant impossible le maintien du corps vertical d’où une tête ballante et absence de position assise non soutenu
- La motilité, c’est l’aptitude à effectuer des mouvements spontané ou réactionnel, elle est relativement massive et anarchique
- La motilité faciale chez le nouveau né est caractérisée par une crispation du visage accompagné de cris
- La détente de la face avec « un proto sourire » révèle un état de confort de l’enfant
- L’agitation des membres (pédalage) introduit une communication avec l’environnement extérieure
Des la naissance le bébé possède un héritage fœtal qui structure son développement. L’ensemble des reflexes dits archaïques ont une large part de fonction adaptative. Ces reflexes s’intègrent dans des montages comportementaux de plus en plus complexe ou disparaissent. Il y a 4 groupes de réflexes :
- Le réflexe de moro « bras en croix », c’est une reflexe de protection se déclenchant lors d’un changement de posture ou de stimulation diverse. Bébé va donc écarter les bras et les ramène sur la poitrine.
- Le réflexe d’agrippement «