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Maupassant fait évoluer Duroy dans un journal appelé La Vie Française car comme son nom l'indique ce journal parle de la vie de tous les Français ce qui permet à Bel-Ami de toucher par ses articles aussi bien les ouvriers que les politiciens.
Pourquoi la première grande étape de l'ascension de Duroy est la rubrique des échos ? Avant l'extrait choisi, Georges Duroy, qui est un ancien sous-officier, rencontre par hasard un vieil ami de régiment, Charles Forestier, qui travaille comme rédacteur politique au journal La Vie Française. Grâce à lui, il fait ses débuts dans le journalisme comme chroniqueur dans le même journal. M. Walter, qui est le patron de ce journal, cherche quelqu'un comme chef des échos au moment de l'extrait (partie 1, chap. 4) :
M. Walter, qui l'appréciait cependant, avait souvent désiré un autre homme pour lui confier les échos, qui sont, disait-il, la moelle du journal. C'est par eux qu'on lance les nouvelles, qu'on fait courir les bruits, qu'on agit sur le public et sur la rente. Sans avoir l'air de rien, la chose importante, plutôt insinuée que dite. Il faut, par des sous-entendus, laisser deviner ce qu'on veut, démentir de telle sorte que la rumeur s'affirme, ou affirmer de telle manière que personne ne croie au fait annoncé. Il faut que dans les échos, chacun trouve chaque jour une ligne au moins qui l'intéresse, afin que tout le monde les lise. Il faut penser à tout et à tous, à tous les mondes, à toutes les professions, au