Quelques parties du commentaire d'omphale
Vers la fin de la description, le narrateur nous fait découvrir l’intérieur de la maison, toujours avec des personnifications, mais cette fois, la maison semble réellement prendre vie et est beaucoup plus attirante que le jardin. A la ligne 35, il est dit qu’ « Une guirlande [...] circulait coquettement ». Tout d’abord, on nous fait comprendre qu’une guirlande se déplace, puis l’adverbe « coquettement » renforce le fait que cette simple guirlande peut avoir un comportement propre à elle-même. Ensuite, dans la maison se trouve un tableau d’une belle dame. Le narrateur ne décrit pas la peinture en elle-même, mais il décrit la dame, comme si elle existait vraiment, comme si elle se tenait au milieu de la pièce : « une belle dame [...] se prélassait et souriait le plus gracieusement du monde ».
L’atmosphère de l’intérieur de la maison paraît plus rassurante que celle de