Question préalable
On peut constater que Rimbaud a une vision positive de la ville car il emploi des termes mélioratifs comme « rêve » au vers 1, « palmiers » au vers 2, « fêtes amoureuses » au vers 3, « cimes » au vers 5 et « l'ardeur du ciel » au vers 6, qui sont des métaphores qui renvoient au paradis, « la naissance éternelle de Vénus » au vers 8, qui est la déesse de l'amour, de la séduction et de la beauté, « moissons de fleurs » au vers 9 et « la joie du travail nouveau » au vers 15. On a aussi une image vivante de la ville justifiée par les termes « rugissent » au vers 3, « crie » au vers 4, « lumière » au vers 5, « mugissent » au vers 10, « la musique » et « se ruent » au vers 13, « dansent sans cesse la fête de la nuit » au vers 14 et « le mouvement d'un boulevard » aux vers 14 et 15. Tout comme Rimbaud, Charles Cros nous offre un aspect de la ville positif. Il utilise le champ lexical du romantisme, il écrit « vous vous y plaisez » et « regards charmeurs » au vers 3 et « Je rêve de passer ma vie en quelque coin […] sur les monts aromatiques » aux vers 5 et 6. Il fait aussi allusion à une ville qui ressemblerait à une campagne par les termes « la clarté