Québecois
Ensuite, après avoir démontré que la crainte était bel et bien l’émotion primaire ressentie chez les personnages des deux histoires, montrons aussi qu’il y a des traces de courage face aux loups-garous. Joachim, dans l’histoire de Louis Fréchette, était seul à confronter la créature puisqu’il avait laissé son ami, qui avait trébuché, seul dans l’autre pièce. Prit par la peur, « il prend son courage à deux mains et il appela Hubert» (p.86), afin d’avoir un peu d’aide ou de réconfort. Lorsqu’il vit qu’Hubert ne répondit pas, la peur a repris le contrôle de ses émotions. On peut voir ici qu’il y a eu un moment d’audace, puisqu’il a été en mesure de crier le nom de son ami. Par contre, la peur à tout de suite reprit le dessus. De plus, Jos. Noël a lui aussi, dans l’histoire de Louvigny de Montigny,