Réponse rédigée registre balzac, zola et hugo
Dans un premier temps, le narrateur dans l’extrait de Balzac use du registre réaliste ce que confirme la description minutieuse du vieillard. Celle-ci est évoquée par le champ lexical du corps et par les groupes nominaux « un front chauve », « un petit nez », ou « des yeux verts ». Ce registre est identifiable aussi par l’interpellation du narrateur envers le lecteur comme le démontre les verbes à l’impératif « imaginez » et « mettez ». Cependant, le registre pathétique est repérables dans l’Homme qui rit puisque le narrateur utilise le champ lexical des émotions ce que suggère les noms « souffrance », « pitié » ou « colère ». De plus, le lecteur peut remarquer le procédé qu’est le rythme ternaire « quoi que […] pensât » décrivant la situation éprouvante du personnage. Contrairement à cet extrait, celui de l’Assommoir possède un registre épique ce que met en évidence le grossissement de l’action du protagoniste illustré par les groupes verbaux « il prit », « lança » et par la description méliorative du personnage principal comme le mettent en en relief les groupes nominaux « homme magnifique », « sa belle barbe » ou « des bras sculptés ».
Dans un second temps, les différents registres identifiables dans les trois extraits jouent un rôle primordial pour la compréhension. Ainsi, dans l’extrait du Chef d’œuvre inconnu, le registre réaliste a pour fonction de créer un effet de réel ce que confirme la description pointilleuse du vieillard. De même, le registre épique dans l’Assommoir permet la glorification de Goujet ce que vérifie les adjectifs à connotation méliorative « vastes », « large », « sculptés » et « magnifique ». Néanmoins, le registre pathétique de l’Homme qui rit tend à toucher le lecteur grâce à des procédés