Réflexion maçonnique sur la mort
Rien ne l’intimide, ni la menace, ni la souffrance, et ses ennemis ne pourront rien contre le bien dont il est un ardant défenseur.Ainsi, il s’est rapproché de la perfection vers laquelle devrait tendre l’espèce humaine. Rapporté sur le plan profane, Hiram peut être aussi vu comme le symbole de la liberté.Tout comme lors de l’initiation au 1er degré, la mort d’Hiram n’est pas une véritable mort et n’est pas synonyme de fin. Le rituel nous enseigne qu’Hiram, tel le phénix qui renaît de ses cendres, revit dans le nouveau Maître. Cette renaissance peut être vue comme un renouveau, comme un nouvel élan.Une fois élevé au grade de Maître, quels sont les obligations du postulant ? Au moment du meurtre, le Temple étant loin d’être achevé, tout le travail …afficher plus de contenu…
La maîtrise n’est pas une fin en soi.La mort symbolique et la «résurrection» qui s’en suit, sont bien la définition même de l’élévation. Le nouveau Maître se doit de transmettre aux Apprentis et Compagnons tout son savoir et il se doit de les guider dans leur quêtedu bien, du beau,du juste. Le Maître ne devra jamais oublier que, loin des errements de la vie profane, son but est de rechercher la justice et la vérité.Quel attitude le nouveau Maître doit-il avoir vis-à-vis des trois mauvais compagnons impunis du crime qu’ils viennent de commettre ?Se doit-ilde les poursuivre en vue de les punir et qu’ilspaient pour leur forfait.Mais au fait, sont-ils les seuls coupables ? Réflexion maçonnique sur la mort. Tout maçon est