Comment selon la société d’accueil (individus/ gr. de personne qui partage une même culture, qui s’organisent dans un même lieu/topo) est-elle représentée (comment elle est percue) dans le récit de Flora Balzano?
-rancoeurs
deception
- Angoisse et interrogation
- Société québécoise représente le rejet
- Infériorité (se sente comme un enfant)
- Recherche de stabilité
- Manque de contrôle
- Mal de vivre
- Solitude
- Situation familiale difficile
- Les exemples de la violence et du manque d'ordre nous informent sur la situation désespérée de la narratrice. La trame de cette description de la mère difficile, nulle et vieille, et de la rupture du lien mère-fille, comportent toujours une description de la vie urbaine au Québec
- dépression
- Refus
- Désir
- Jalousie
- Ordre/désordre entre femme et société
- l’image du trottoir : un endroit en bordure de la rue, éloigné de la circulation constante de la société, en retrait de la vie quotidienne, un espace qui maintenant bloque le boulevard par le poids lourd des doigts sanglants de la femme.
- Sur ce trottoir, cette femme aurait dû marcher, aurait dû battre le pavé. Cette femme aurait même fait le trottoir. Loin d’expliquer les activités de cette femme, le texte finit par annoncer que l’espace du trottoir lui a certainement servi. Tombée, ayant perdu sa verticalité, vautrée à l'orée de la forêt de la marginalité, elle ne bouge plus. Toujours consciente de la réalité de la vie urbaine, Balzano situe cette femme blessée à la périphérie de la vie, dans l'espace symbolique et étroit de la femme tombée à cause du chaos de la société patriarcale.
- Communication silencieuse
- Changement
- Désir de l’homme
- Dans l’univers étouffant du Québec, l’immigrante a toujours soif : de l’oasis maternelle, des origines, et de la stabilité, de la vulnerabilité de la prositituée et maintenant d’un amour, c’est-à-dire, de rencontrer quelqu’un. Elle dit, « Je voudrais que quelqu'un m'aime. Je voudrais que quelqu'un