Romantisme francais
Romantisme : synonyme de « romanesque ». Madame de Staël a emprunté ce mot pour évoquer un style qui s’écarte des normes de la littérature ordinaire, classique. Ce terme deviendra courant au XIX ème siècle.
Contexte historique : révolution en 1830 et 1848. Coup d’Etat le 2 décembre 1851 de Louis Napoléon (Second Empire). Il fait exiler plusieurs écrivains (Victor Hugo). La littérature et le romantisme font rêver les gens du peuple qui sont contre la bourgeoisie.
Opposition : Le romantisme s’oppose au classicisme en obéissant en aucune de ses règles. Il s’oppose aussi à la philosophie, à la réflexion, la lecture ce doit d’être simple et de permettre au lecteur de rêver de s’évader.
Plusieurs romantismes : * Vers 1800 et 1820 le romantisme critique la révolution, les lectures décrivent une ville en ruine … C’est le « mal du siècle ». * Vers 1820/1830, les auteurs revendiquent leurs libertés, et loue les louange de l’époque napoléonienne. * Vers 1830/1840, les auteurs s’intéressent aux mythes anciens, au fantastique, au rêve. D’autre s’oriente vers le réalisme, comme Flaubert.
Les genres romantiques : * Il y a la poésie (les poètes sont considérés comme guide, et prophète par les auteurs). Le poète romantique est toujours insatisfait, il souffre toujours d’un mal de vivre. Cette mélancolie donne lieux à de merveilleux poème comme la section « Spleen et Idéal » de Charles Baudelaire. * Il y a le récit en prose, qui peut être sombre et fantastique, sentimental et pittoresque, historiques ou encore autobiographique. * Et bien sûr les drames romantiques, très connus, une intrigue s’installe plusieurs péripéties