Rousseau, malheur à qui n'a plus à désirer
questions indicatives
• Comment comprendre cette affirmation paradoxale « l'homme n'est heureux qu'avant d'être heureux » ? La conscience commune ne pense-t-elle pas que le bonheur consiste dans la satisfaction immédiate de tous ses désirs ? L'idée du bonheur est-elle supérieure à la réalité dont elle est le signe ? à sa réalisation ?
• Pourquoi la chose désirée procure-t-elle plus de jouissance que la chose possédée ?
• Quelle est cette « force consolante » que l'homme a a reçu du ciel ?
• Pensez-vous que l'on puisse définir l'homme comme étant essentiellement un être de désir ? (Cf.