Réflexion personnelle
Sujet : Discuter la notion de “contrefaçon” en architecture Ecole Nationale Supérieure d’ Architecture Paris La Villette

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Le problème d’inspiration en architecture est tout à fait existant et il faut aider les architectes a comprendre les limites de légalité et moralité entre l’inspiration et le plagiarisme, entre la créativité et la copie, entre l’original et le contrefaçon. C'est pour cela que je vais aborder, lors de cette réflexion personnelle, la notion de « contrefaçon » dans l’architecture. Si on ne connaît pas la définition de contrefaçon à la base et ce qu’elle peut engager, c’est très possible de se confronter à des problèmes juridiques et déontologiques car l’ignorance des lois ne protège personne quand on est dans les tribunaux. Le concept de contrefaçon est fondamental dans notre perception des choses et pratique de l'espace. A travers cette réflexion, on va surtout s’intéresser aux définitions même de la contrefaçon, spécialement dans l’architecture. Nous allons tenter donc dans un premier temps de les identifier et de les comprendre pour ensuite s’incliner sur ce que cela implique pratiquement dans la production architecturale. En fin, nous nous interrogerons sur les conséquences qu'elles peuvent inférer.

La contrefaçon, littéralement, est définie par une violation d’un droit de propriété intellectuelle par le fait d’imiter ou de reproduire un oeuvre illicitement en affirmant que la copie est authentique, et juridiquement, elle est définie comme la reproduction, l'imitation ou l'utilisation totale ou partielle d'une marque, d'un modèle, d'un brevet, d'un dessin, d’un logiciel, d’un objets historique, d’un ouvre textile ou artistique, d’un droit d'auteur, ou d'une obtention végétale sans l'autorisation de son titulaire. En dépit de cela, la contrefaçon peut également s’étendre à l’architecture, définie comme l'agencement des formes complexes d'édifices et l’art de les imaginer, de les concevoir
ou