Résumé la bête humaine de zola (complet)
Roman appartenant au mouvement naturaliste publié en 1890. C'est le 17ème volume du cycle des Rougon-Macquart, (qui en comprend 20).
Chapitre 1 : (p. 35-p. 72) On est en février 1869 au début du roman
Roubaud, sous-chef de gare au Havre, en déplacement à Paris est dans une chambre que lui prête la mère Victoire, près de la gare du quartier de l'Europe. Il s’impatient d’attendre sa jeune femme Séverine qui doit le rejoindre après avoir profité des magasins de la capitale, le Bon Marché. P.44 (crochet)
Celle-ci finit par arriver lui expliquant qu’elle n’a dû courir pour rentrer car elle n’a pas eu de d’omnibus. Le couple se met à table, joyeux de se retrouver là. Roubaud explique que l'affaire qui l'a conduit à Paris est réglée (une dispute avec le sous-préfet à propos d'une place dans un train p. 46 (crochet). Il admet que c'est grâce à l'intervention de sa femme que tout s'est arrangé.p.47 (crochets 1 et 2).
Alors qu'elle n'était qu'une enfant, Séverine a perdu sa mère, puis son père qui était le jardinier du président de la Compagnie de l'Ouest : Grandmorin. L'homme l'a adoptée et est subvenu à ses besoins jusqu'à ce qu'elle se marie, offrant une dot conséquente. Il lui a aussi promis la maison de la Croix-de-Maufras. Séverine et sa famille p.42 et 48.
A la fin du repas, Roubaud demande à sa femme pourquoi elle a refusé d'aller passer une semaine chez Grandmorin p.50 (crochets 1 et 2) alors que cela s'est déjà produit précédemment. Celle-ci reste évasive, plaidant simplement le manque d'envie de se séparer de son mari. Roubaud se rapproche de sa femme et se montre entreprenant mais celle-ci le repousse p.55 (crochet+souligné). Machinalement, il joue avec une bague -un petit serpent en or avec une tête de rubis- que sa femme porte. Elle lui dit sans réfléchir que c'est un cadeau du président pour ses 16 ans p.56 (soulignés). Roubaud ne comprend pas car elle lui a toujours dit que le bijou provenait de sa mère. Elle nie farouchement