Sécurité et média
Les médias ont été, et le sont toujours, considérées comme quatrième autorités, elles sont une façade de collecte de l’information et sa diffusion au public, et peut être après l’avoir modelée selon des données idéologiques et socioculturelles prédéfinies, et ce dans le but d’assurer une supériorité d’un côté sur l’autre, les médias tendent ainsi à canaliser les réactions de l’opinion publique.
Et de la on peut parler de l’impact des médias sur la sécurité, et ce par une stabilité de l’ambiance générale au sein de la population ou sa perturbation, ainsi peut on définir les points d’intersection et de divergence entre les médias et la police défendeur de la sûreté nationale.
En ce qui concerne les divergences, une ancienne hostilité règne toujours entre les deux clans, et qui persiste dans les relations négatives et répressives d’une partie sur l’autres, à savoir le harcèlement dont souffre les journalistes dans l’exercice de leurs tâches de la part des services de police, à savoir certaines poursuites judiciaires suite à certains articles de diffamation ou qui pointent du doigt le gouvernement ou les établissements de l’état.
Alors que dans un temps où les services de police ne font qu’appliquer des procédures de la justice, ces journalistes continuent à croire au mécontentement sous couvert de la liberté d’expression, alors que le métier du journalisme à des devoirs comme il a des droits.
Il est à noter que certaines médias ne cessent de toucher négativement au rôle des services de la sécurité et ce par divulgation d’un sentiment d’insécurité au sein des populations d’où son agitation et même sa désobéissance, et ce rien que suite à des affaires ou des crimes considérés comme normaux ou commis par des individus malades, alors qu’il fallait les qualifier de fait particulier.
D’autre part, le corps de la police se trouve souvent dans une situation embarrassante, lorsque les média soulèvent des informations qui touchent mal à la