Salle de sport
Le terme de « remise en forme » est porteur de toutes les ambiguïtés possibles. À ce jour, personne ne sait quels termes utiliser pour simplement nommer les structures où sont pratiquées les activités fitness ni même définir le ou les métiers.
La salle de gym
Les mots « centres de remise en forme », « de mise en forme », « clubs de remise en forme », « clubs de gym », « salle de sport », etc., sont les plus utilisés. Ils sont toutefois pratiquement tous impropres à représenter réellement la réalité.
La confusion est immense, puisqu’il est impossible d’identifier et de recenser les structures.
Selon les différentes études, il y a en France un nombre qui oscille entre 3 500 structures, sources de l’APCE et 10 000 structures, sources CREDOC.
L’enregistrement pour l’attribution des codes NAF se fait d’après l’objectif social. Celui-ci peut être très variable et donner des classifications différentes. Il en va de même pour les associations.
Comment sont référencées : l’association locale des pompiers qui a une salle d’entraînement ouverte au public, la salle de quartier adjacente à la piscine municipale, celle de l’équipe de judo ou de rugby, ou, les immenses installations de certains clubs de foot ouvertes au tout public ?
Comment référencer toutes les installations mixtes avec celles de cours de danse où se donnent des cours de fitness, ou les installations des clubs culturistes ou haltérophiles ouvertes à la musculation d’entretien ?
Le marché de la forme
Les structures
L’activité est très gourmande de surfaces. L’empreinte immobilière est forte sur ce secteur.
Il est pratiquement impossible de créer une « salle de gym » à moins de 500 m2, la taille idéale avoisine davantage les 1000 m2. Si on y ajoute une piscine et d’autres structures on peu arriver à des établissements de plusieurs milliers de mètres carrés.
Quand on connaît les coûts de l’immobilier on est beaucoup plus conscient des flux financiers générés par cette