 Les échanges sont font car nous n’avons pas la possibilité de satisfaire tous nos besoins. On doit donc faire appel à d’autres acteurs d’où la spécialisation des individus. Il y a donc une division du travail à l’échelle de l’individu, et une division internationale du travail à l’échelle des pays.
 Les échanges concernent plusieurs types d’éléments (biens et services, capitaux, travail, informations).A chaque éléments il y a un ou plusieurs marché(s) spécifique(s) (marché des biens et services, marché des capitaux, marché du travail, internet, médias, etc.).
ATTENTION : « Le » marché est une vue de l’esprit, en fait il y a des dizaines, des milliers, des millions de marchés selon les cas.
Chaque marché demande des acteurs ce qui nous amène aux notions d’offreurs et de demandeurs.
 La concurrence oblige les entreprises à être compétitives (aptitude à faire mieux ou aussi bien que les autre) en terme de prix et de qualité ainsi que de services associés. La concurrence est donc un « aiguillon d’excellence ». Les marchés sont contrôlés, encadrés, supervisés par des organismes publics (nationaux ou internationaux).
 Pour avoir une concurrence pure et parfaite il faut remplir les conditions suivantes : atomicité du marché (une multitude d’entreprises), transparence du marché (l’information doit circuler et ne pas être retenue par l’entreprise, fluidité du marché (l’accès et la sortie doivent être aisés).
REMARQUE : La concurrence pure et parfaite n’existe pas ; en effet les marchés ont naturellement tendance à se concentrer (les acteurs se regroupent), les acteurs qui sont détenteurs d’informations in tendance à la garder pour eux, beaucoup de secteurs sont réglementés ou nécessitent d’énormes investissements.
 Le prix est une fonction proportionnelle à la demande ; à mesure que celle-ci augmente, et que l’offre n’arrive pas à suivre dans les mêmes proportions, le prix va naturellement augmenter ce qui rééquilibrera offre et demande.
 Il existe