Partie 1:
1) Les limites du PIB en tant qu’indicateur de richesses sont Il ne mesure pas le travail bénévole, le travail domestique, l’économie souterraine (travail au noir, activités illégale: drogue, proxénétisme...)
Il ne déduit pas les dégradations de l’environnement, la pollution.. Il ne mesure pas le bien­être, la santé, l’éducation, ou le chômage. Les signaux qu’il envoie ne permettent pas de prévenir les crises et d’orienter les politiques économiques vers plus de bien­ être .

2) Croissance endogène = en fonction des choix des différents agents économiques qui contribuent à la croissance. Elle est auto­entretenue et dépend de l’accumulation des savoirs passés qui proviennent du système économique et social. Elle explique le progrès technique, il résulte de la croissance passée.
Croissance endogène : Théories visant que le progrès technique est le moteur principale de la croissance et qu’il peut résulter de décisions économiques par les acteurs (dépenses de R&D ou de capital humain ou de capital public par les entreprises privés ou par les Administrations Publiques) d’où le terme « endogène » (sous­entendu à l’économie) Partie 2:
Le progrès technique est l’amélioration au fil du temps des techniques productives, par définition on le mesure avec les gains de productivité globale des facteurs. Pour calculer le taux de croissance annuel moyen il faut diviser la production globale des facteurs par le PIB, et en multipliant le résultat par 100. Pour le Japon, on trouve 100%, pour les EU, 52%, pour la France 41%, pour l’Espagne, 0%, pour l’Italie, ­50%. Donc les pays ayant une croissance intensive c’est­à­dire qu’elle dépend surtout du progrès technique donc qui permets de produire +on une part du progrès technique superieure à 50% donc il s’agit du Japon, des
EU. Alors que pour les pays ayant une croissance extensive c’est­à­dire quand elle est surtout due à une augmentation de la qté de facteurs utilisés travail et/ou capital donc