Si c’est un homme, PRIMO LEVI

Entrée du camp d'Auschwitz, avec l'inscription "Arbeit macht frei" : le travail rend libre (photo)
Si c’est un homme est un récit autobiographique de Primo Levi.
Il commence à écrire son roman en 1945, lors de la libération des camps par les soviétiques donc à la fin de la Guerre. Puis son livre parait en 1947 (première œuvre de Primo Levi).
Portrait Chinois :
Si ce livre était un paysage pour moi ce serait une caverne. Ce sont des lieux sacrées qui ont marqués l’humanité, de plus les cavernes peuvent signifier plusieurs choses mais dans ce cas c’est la descente aux enfers ou la porte des ténèbres. Enfin, on peut observer un lien avec l’état des lieux ; une saleté permanente, les goutes tombant du plafond ; ce qui renverrait aux conditions des camps.
Si ce livre était une couleur pour moi ce serait le noir. En effet, cette couleur est symbolique à la peur, au mal. Le sombre donne une vision plus violente de l’évènement. Le champ lexical de la mort et du deuil sont omniprésents dans le livre et le noir désigne cela.
Si ce livre était un objet pour moi ce serait le livre de Hitler : « Mein Kampf », qu’il a écrit en prison en 1924, ce livre raconte ses pensées antisémites, horribles.
Si ce livre était un animal pour moi ce serait le rat. En effet, cet animal fait partie de l’histoire humaine. Il est le porteur de maladie donc on pourrait faire un rapprochement avec toutes les épidémies présente durant cette période et les rats. Ils représentent aussi la misère.
Si ce livre était un végétal pour moi ce serait les ronces. Dans le livre, elles représenteraient les barbelés entourant et fermant les camps. Le fait que les ronces est des piques renforce l’idée négative.
Si ce livre était un fruit pour moi ce serait la pomme car elle évoque le mal, le fruit du péché originel. C’est aussi un fruit vu comme défendu, or ce qui c’est passé n’aurait jamais du arriver, aurait du être interdit.
Si ce livre était un tableau pour moi ce